Le rythme des dunes Juste un respir sous son aile Juste une alliée sous l'averse Juste partager avec elle un regard sur l'horizon sur milles années d'ivresse sur cent ants de perdition se trouver pour fusionner se rejoindre pour exister sous dix milles ans de caresses sous trois pesées d'ivresse Aux fractures de ses humeurs Aux dictées de ses pleurs De ses desespoir et de ses remontées Aux dessins de ses allures Aux figures de ses parures Juste un instant d'ivresse au passé décomposé au froid dans le grand hiver au reine dans ses allegresses Je la voulais aimante mais elle est détachée un rien envoutante tout juste exaltée au rêgne de ses indisposées au parcours de ses vallées après le grand hiver un printemp de beauté De ses froideurs a ses chaleurs Au bruit de la clameur Au repos de ses idées Au garde de ses pensées Quand elle rejette le dicible au frontière de ses négligées au règne de ses indicibles la beautée d'une idée Au paysage invincible son horizon infinis Aux vagues qui se brisent Au dire de son étrange Un mystère qui la dévore Au dela du risible elle t'a a sa gouverne Danslemir qui te cible Dans l'astre de la lanterne Au dela du visible elle t'indique ses heures Aux rêgne de ses indisposés Au parcours de ses vallées au dela du dicible elle t'indique la présence dansla douceur du signe te rappellela decence Au livre de ses hommage Au fracas de ses signes Sa puissance t'emporte Dans une alliance insigne De sa maison la porte Parcours de son ombre Lumineuse et sombre Au fracas de ses signes Aux appels de ses soupirs S'il reste un peu d'ivresse Je peut te la presenter si déborde l'allegresse je doit me retirer l'indecentn'a de place devant la dignité Puisse ces trois mots vous la voir Ces trois notions vous la montrer Pour franchir juste un soir pour un jour se retrouver A moi le solitaire auquel elle s'est montrée Au cri des dechirures Au fracas des puissances Quand part l'être aimé Au rêgne de ses indisposés Au dessin de ses vallées A ses vêtements déchirés A l'ombre et la forme juste une femme et un homme qui se parent de l'immense qui entre dans l'eternité entre la veille et un somme entre une pomme et un dés au rire de son ivresse au dunes de sa dignité aux volutes de sa volupté Plus rien ne me stress j'ai pu la recontrer Dans les deserts des cités Aux joie dans l'allegresse Au repos de ses idées Pourvu qu'elle sache au bout du signe a nouveau me le signifier sous l'ombrage de ce qu'elle designe je saurait être à ses cotés aux fracas de ses désirs dans le roulis de ses respirs Vertical et immense l'astre de sa beautée D'une subtile cadence Vivre pour honorer un soir sous la beautée puisqu'elle t'offre comme un signe dans le rythme de ses dunes saisit sans mot la lettre du parfum de sa conduite aux rêgne de ses indisposés aux dessins de ses vallées aux vagues qui se brisent la beautée d'une idée